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Changements sur "Développer l'agriculture urbaine pour une plus grande résilience alimentaire de la ville de Nancy et pour atténuer les canicules"

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• +["Développer l'agriculture urbaine (permaculture avec une grande diversités de végétaux) en périphérie de Nancy -sur l'exemple des coteaux de Laxou par exemple- est bénéfique à plusieurs égards pour l'adaptation du territoire au changement climatique. Premièrement, en augmentant les surfaces végétalisées, les canicules seront moins intenses à Nancy. Deuxièmement, augmenter les surfaces cultivées à proximité des zones urbaines permet d'être plus résilient en cas de sécheresse dans les grandes zones de production agricole. Enfin, cela est bénéfique pour l'emploi, pour un emploi qui a du sens. \n\nLa difficulté d'une telle proposition est de trouver des espaces libres pour cultiver. Les zones non constructibles, les friches industrielles/commerciales (après dépollution et débétonnisation) pourraient être mises à disposition. Cela implique également que nous arrêtions l'étalement urbain pour préserver des espaces cultivables. \n\nObjectif : atteindre une part en % (25 ou 30% ?) de la consommation de fruits et légumes qui soit produite en périphérie de Nancy à très court terme (délai de 5 ou 6 ans, le temps que des maraîcher.es puissent s'installer) pour ne pas vivre dans une ville \"sous perfusion alimentaire\""]

• +["Développer l'agriculture urbaine (permaculture avec une grande diversités de végétaux) en périphérie de Nancy -sur l'exemple des coteaux de Laxou par exemple- est bénéfique à plusieurs égards pour l'adaptation du territoire au changement climatique. Premièrement, en augmentant les surfaces végétalisées, les canicules seront moins intenses à Nancy. Deuxièmement, augmenter les surfaces cultivées à proximité des zones urbaines permet d'être plus résilient en cas de sécheresse dans les grandes zones de production agricole. Enfin, cela est bénéfique pour l'emploi, pour un emploi qui a du sens. \n\nLa difficulté d'une telle proposition est de trouver des espaces libres pour cultiver. Les zones non constructibles, les friches industrielles/commerciales (après dépollution et débétonnisation) pourraient être mises à disposition. Cela implique également que nous arrêtions l'étalement urbain pour préserver des espaces cultivables. \n\nObjectif : atteindre une part en % (25 ou 30% ?) de la consommation de fruits et légumes qui soit produite en périphérie de Nancy à très court terme (délai de 5 ou 6 ans, le temps que des maraîcher.es puissent s'installer) pour ne pas vivre dans une ville \"sous perfusion alimentaire\""]

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• +["Développer l'agriculture urbaine (permaculture avec une grande diversités de végétaux) en périphérie de Nancy -sur l'exemple des coteaux de Laxou par exemple- est bénéfique à plusieurs égards pour l'adaptation du territoire au changement climatique. Premièrement, en augmentant les surfaces végétalisées, les canicules seront moins intenses à Nancy. Deuxièmement, augmenter les surfaces cultivées à proximité des zones urbaines permet d'être plus résilient en cas de sécheresse dans les grandes zones de production agricole. Enfin, cela est bénéfique pour l'emploi, pour un emploi qui a du sens. \n\nLa difficulté d'une telle proposition est de trouver des espaces libres pour cultiver. Les zones non constructibles, les friches industrielles/commerciales (après dépollution et débétonnisation) pourraient être mises à disposition. Cela implique également que nous arrêtions l'étalement urbain pour préserver des espaces cultivables. \n\nObjectif : atteindre une part en % (25 ou 30% ?) de la consommation de fruits et légumes qui soit produite en périphérie de Nancy à très court terme (délai de 5 ou 6 ans, le temps que des maraîcher.es puissent s'installer) pour ne pas vivre dans une ville \"sous perfusion alimentaire\""]

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• +["Développer l'agriculture urbaine (permaculture avec une grande diversités de végétaux) en périphérie de Nancy -sur l'exemple des coteaux de Laxou par exemple- est bénéfique à plusieurs égards pour l'adaptation du territoire au changement climatique. Premièrement, en augmentant les surfaces végétalisées, les canicules seront moins intenses à Nancy. Deuxièmement, augmenter les surfaces cultivées à proximité des zones urbaines permet d'être plus résilient en cas de sécheresse dans les grandes zones de production agricole. Enfin, cela est bénéfique pour l'emploi, pour un emploi qui a du sens. \n\nLa difficulté d'une telle proposition est de trouver des espaces libres pour cultiver. Les zones non constructibles, les friches industrielles/commerciales (après dépollution et débétonnisation) pourraient être mises à disposition. Cela implique également que nous arrêtions l'étalement urbain pour préserver des espaces cultivables. \n\nObjectif : atteindre une part en % (25 ou 30% ?) de la consommation de fruits et légumes qui soit produite en périphérie de Nancy à très court terme (délai de 5 ou 6 ans, le temps que des maraîcher.es puissent s'installer) pour ne pas vivre dans une ville \"sous perfusion alimentaire\""]

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Auteur de la version

Guénolé HDLC

Version créée le 16/03/2022 20:19