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Défis Déclics 21/01/2023 - 30/04/2023

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+["Propositions générales\n- Impulser le renforcement des réseaux électriques pour assurer le développement des chauffages électriques (pompes à chaleur, …) et le déploiement de bornes de recharges électriques\n- Densifier les raccordements d’utilisateur sur les réseaux de chaleur actuels, tenant compte de la baisse des consommations lorsque chaque bâtiment aura effectué ses travaux de rénovation.\n- Inciter à la production des énergies renouvelables : solaire thermique pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire, le solaire photovoltaïque associé à des pompes à chaleur, et ne développer qu'avec prudence l'utilisation de la biomasse (poêle à bois et granulés…) néfaste pour la qualité de l’air et les émissions de GES.\n\nLe bois énergie est un combustible carboné\nSoutenir la sortie la plus rapide possible des consommations d'énergies fossiles. Quant au transfert des consommations d'énergies fossiles vers des consommations de bois-énergie, la prudence s'impose....et devra se faire avec circonspection . Les émissions de GES du bois énergie étant conséquentes, estimées par les physiciens plus importantes que celles du charbon, contrairement aux règles édictées par les Etats. Une augmentation de prélèvement des stocks de bois (puits de carbone et dédié prioritairement à la construction), entraînera un rebond des émissions de GES et une accélération du dérèglement climatique. Le Shift recommande la prudence\n\nL’Hydrogène\nConsidérer le développement des filières Hydrogène avec prudence ! La production d’hydrogène décarboné devrait approvisionner en priorité les gros utilisateurs de l’industrie comme la sidérurgie et les producteurs d’engrais qui consomment actuellement de grandes quantités d’hydrogène produit à partir de gaz naturel.\nLe coût énergétique et les conditions de fonctionnement sont tels que l’hydrogène décarboné produit par des électrolyseurs ne sera compétitif, et utile à la décarbonation, que si ces derniers sont alimentés 24 h/ 24h à partir du réseau électrique.\n\nLe biogaz\nDu fait de l’éloignement des réseaux de distribution de gaz, le biogaz produit par la plupart des méthaniseurs du Grand Est n’est pas injecté dans le réseau mais transformé sur place en électricité. \nCompte tenu des limitations de la ressource en biomasse, en particulier en termes de bio-déchets, il conviendrait de limiter la combustion directe du biogaz, avec cogénération d’électricité et de chaleur, aux sites isolés, sans oublier l’impact sur l’utilisation des espaces agricoles."]

+["Propositions générales\n- Impulser le renforcement des réseaux électriques pour assurer le développement des chauffages électriques (pompes à chaleur, …) et le déploiement de bornes de recharges électriques\n- Densifier les raccordements d’utilisateur sur les réseaux de chaleur actuels, tenant compte de la baisse des consommations lorsque chaque bâtiment aura effectué ses travaux de rénovation.\n- Inciter à la production des énergies renouvelables : solaire thermique pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire, le solaire photovoltaïque associé à des pompes à chaleur, et ne développer qu'avec prudence l'utilisation de la biomasse (poêle à bois et granulés…) néfaste pour la qualité de l’air et les émissions de GES.\n\nLe bois énergie est un combustible carboné\nSoutenir la sortie la plus rapide possible des consommations d'énergies fossiles. Quant au transfert des consommations d'énergies fossiles vers des consommations de bois-énergie, la prudence s'impose....et devra se faire avec circonspection . Les émissions de GES du bois énergie étant conséquentes, estimées par les physiciens plus importantes que celles du charbon, contrairement aux règles édictées par les Etats. Une augmentation de prélèvement des stocks de bois (puits de carbone et dédié prioritairement à la construction), entraînera un rebond des émissions de GES et une accélération du dérèglement climatique. Le Shift recommande la prudence\n\nL’Hydrogène\nConsidérer le développement des filières Hydrogène avec prudence ! La production d’hydrogène décarboné devrait approvisionner en priorité les gros utilisateurs de l’industrie comme la sidérurgie et les producteurs d’engrais qui consomment actuellement de grandes quantités d’hydrogène produit à partir de gaz naturel.\nLe coût énergétique et les conditions de fonctionnement sont tels que l’hydrogène décarboné produit par des électrolyseurs ne sera compétitif, et utile à la décarbonation, que si ces derniers sont alimentés 24 h/ 24h à partir du réseau électrique.\n\nLe biogaz\nDu fait de l’éloignement des réseaux de distribution de gaz, le biogaz produit par la plupart des méthaniseurs du Grand Est n’est pas injecté dans le réseau mais transformé sur place en électricité. \nCompte tenu des limitations de la ressource en biomasse, en particulier en termes de bio-déchets, il conviendrait de limiter la combustion directe du biogaz, avec cogénération d’électricité et de chaleur, aux sites isolés, sans oublier l’impact sur l’utilisation des espaces agricoles."]

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+["Propositions générales\n- Impulser le renforcement des réseaux électriques pour assurer le développement des chauffages électriques (pompes à chaleur, …) et le déploiement de bornes de recharges électriques\n- Densifier les raccordements d’utilisateur sur les réseaux de chaleur actuels, tenant compte de la baisse des consommations lorsque chaque bâtiment aura effectué ses travaux de rénovation.\n- Inciter à la production des énergies renouvelables : solaire thermique pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire, le solaire photovoltaïque associé à des pompes à chaleur, et ne développer qu'avec prudence l'utilisation de la biomasse (poêle à bois et granulés…) néfaste pour la qualité de l’air et les émissions de GES.\n\nLe bois énergie est un combustible carboné\nSoutenir la sortie la plus rapide possible des consommations d'énergies fossiles. Quant au transfert des consommations d'énergies fossiles vers des consommations de bois-énergie, la prudence s'impose....et devra se faire avec circonspection . Les émissions de GES du bois énergie étant conséquentes, estimées par les physiciens plus importantes que celles du charbon, contrairement aux règles édictées par les Etats. Une augmentation de prélèvement des stocks de bois (puits de carbone et dédié prioritairement à la construction), entraînera un rebond des émissions de GES et une accélération du dérèglement climatique. Le Shift recommande la prudence\n\nL’Hydrogène\nConsidérer le développement des filières Hydrogène avec prudence ! La production d’hydrogène décarboné devrait approvisionner en priorité les gros utilisateurs de l’industrie comme la sidérurgie et les producteurs d’engrais qui consomment actuellement de grandes quantités d’hydrogène produit à partir de gaz naturel.\nLe coût énergétique et les conditions de fonctionnement sont tels que l’hydrogène décarboné produit par des électrolyseurs ne sera compétitif, et utile à la décarbonation, que si ces derniers sont alimentés 24 h/ 24h à partir du réseau électrique.\n\nLe biogaz\nDu fait de l’éloignement des réseaux de distribution de gaz, le biogaz produit par la plupart des méthaniseurs du Grand Est n’est pas injecté dans le réseau mais transformé sur place en électricité. \nCompte tenu des limitations de la ressource en biomasse, en particulier en termes de bio-déchets, il conviendrait de limiter la combustion directe du biogaz, avec cogénération d’électricité et de chaleur, aux sites isolés, sans oublier l’impact sur l’utilisation des espaces agricoles."]

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+["Propositions générales\n- Impulser le renforcement des réseaux électriques pour assurer le développement des chauffages électriques (pompes à chaleur, …) et le déploiement de bornes de recharges électriques\n- Densifier les raccordements d’utilisateur sur les réseaux de chaleur actuels, tenant compte de la baisse des consommations lorsque chaque bâtiment aura effectué ses travaux de rénovation.\n- Inciter à la production des énergies renouvelables : solaire thermique pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire, le solaire photovoltaïque associé à des pompes à chaleur, et ne développer qu'avec prudence l'utilisation de la biomasse (poêle à bois et granulés…) néfaste pour la qualité de l’air et les émissions de GES.\n\nLe bois énergie est un combustible carboné\nSoutenir la sortie la plus rapide possible des consommations d'énergies fossiles. Quant au transfert des consommations d'énergies fossiles vers des consommations de bois-énergie, la prudence s'impose....et devra se faire avec circonspection . Les émissions de GES du bois énergie étant conséquentes, estimées par les physiciens plus importantes que celles du charbon, contrairement aux règles édictées par les Etats. Une augmentation de prélèvement des stocks de bois (puits de carbone et dédié prioritairement à la construction), entraînera un rebond des émissions de GES et une accélération du dérèglement climatique. Le Shift recommande la prudence\n\nL’Hydrogène\nConsidérer le développement des filières Hydrogène avec prudence ! La production d’hydrogène décarboné devrait approvisionner en priorité les gros utilisateurs de l’industrie comme la sidérurgie et les producteurs d’engrais qui consomment actuellement de grandes quantités d’hydrogène produit à partir de gaz naturel.\nLe coût énergétique et les conditions de fonctionnement sont tels que l’hydrogène décarboné produit par des électrolyseurs ne sera compétitif, et utile à la décarbonation, que si ces derniers sont alimentés 24 h/ 24h à partir du réseau électrique.\n\nLe biogaz\nDu fait de l’éloignement des réseaux de distribution de gaz, le biogaz produit par la plupart des méthaniseurs du Grand Est n’est pas injecté dans le réseau mais transformé sur place en électricité. \nCompte tenu des limitations de la ressource en biomasse, en particulier en termes de bio-déchets, il conviendrait de limiter la combustion directe du biogaz, avec cogénération d’électricité et de chaleur, aux sites isolés, sans oublier l’impact sur l’utilisation des espaces agricoles."]

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Auteur de la version

Shifters-Nancy

Version créée le 24/05/2022 07:45