Assises de la mobilité
Une démarche de concertation jusqu'à l'automne 2021
Il n’y a pas de mobilité sans voitures
Réduire la voie de circulation pour voitures, comme cela a été fait rue de Verdun, rue de Boudonville, avenue de la Libération, ne fait qu’augmenter le nombre de bouchons à l’heure de pointe. Par conséquent, plus de pollution à cause de moteurs tournant à l’arrêt et surtout plus de temps pour les trajets travail. Si c’est pour faciliter les déplacements de 2-3 cyclistes par heure, cela ne sert à rien.
Fuite de magasins et entreprises encore présents au centre-ville, est-ce le fameux projet de Mobilité?
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Conversation avec Plume
La création d'une piste cyclable nécessite toujours un temps d'adaptation, c'est en voyant des pistes cyclables sécurisées que les gens modifient leurs habitudes et décident de se déplacer à vélo plutôt qu'en voiture. Par exemple la piste cyclable rue Jeanne d'Arc est beaucoup plus empruntée aujourd'hui qu'à ses débuts. Enfin, sur le principe, l'argument "2-3 cyclistes par heure" est un non-sens: supprime-t-on les petites routes de campagne qui ne voient passer que 2-3 voitures par jour?
Sur le même principe: supprime-t-on des routes qui voient passer milliers d'automobilistes par jour? Faut-il que les gens changent leurs "habitudes" puisque certains l'ont décidé à leur place? C'est un non-sens.
Les routes dont vous parlez n'ont pas été supprimées mais le nombre de voies à été réduit. Donc non, on ne supprime pas des routes qui voient passer des milliers (centaines ?) d'automobilistes par jour, on les rend plus sûres pour tout le monde.
ancienneté ≠ légitimité. Le non sens c'est plutôt de vouloir continuer le tout bagnole alors que ça pollue, ça prend de la place, ça coûte cher aux collectivités et ça n'est que rarement le transport le plus efficace en ville.
Vous avez lu mon message en diagonale. C'est une autre personne qui parle de suppression.
Il faudrait avoir des compteurs de vélo comme à Paris : https://compteurs.parisenselle.fr/
On voit qu'il y a des milliers voire plus de 10 000 passages par jour sur les pistes cyclables. Pour comparaison, le périphérique avec ses 8 voies de circulation, c'est 100 000 passages par jour à certains endroits. Ramené à largeur égale (3,5 mètres ou 35 mètres), les pistes cyclables parisiennes voient passer autant de flux que le périphérique.
On gagnerait à avoir des chiffres à Nancy.
Vous parlez de quelques voies cyclables par beau temps? Car on les voit aussi souvent bien vides sous la pluie et Paris n'est pas Nancy. Pas de grandes artères traversantes, de rues larges, et quelques belles ascensions qui épuisent même les trams. Allez donc de Malzéville à Brabois en vélo en hiver sous la pluie.
C'est précisément pour éviter ce genre de poncif que ce serait bien d'avoir des chiffres. L'association Eden avait entamé ce travail sur l'axe rue Jeanne d'Arc il me semble.
Il faut parler de partage de la route mais pas de supprimer la circulation automobile comme à Paris dont on voit les résultats. Fermeture des commerces, déplacement et aggravation des embouteillages et augmentation de la pollution qui d'ailleurs ne vient pas que de la circulation loin s'en faut. Sinon comment expliquer des pics de pollution en plein confinement avec 90% de la circulation envolée? Et des pistes cyclables faites un peu partout congestionnant la circulation automobile qui restent vides quand il pleut ou l'hiver. Il faudrait peut être repenser la circulation avec des voies spécialisées lorsqu'elles ne permettent pas le partage pour toutes les catégories de véhicules et cesser de raisonner tout vélo ou tout électrique en l'état actuel des transports publics (maillage, fréquence surtout en vacances scolaires et en dehors de 8h-18h) de l'absence de parking relais aux portes de la métropole et de nombre de places.
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